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Que faire, quand par traces, l’arbitrage donne place à l’arbitraire ? (Par Soukeyna Fall)

Le comité de casting et de metteur en scène a déjà sorti une liste des acteurs. Une liste de candidats en lice contestée ou contestable dont les répercussions continuent de battre en batterie de percussions !

Dans le grand théâtre ou cirque politique, des acteurs sur scène étaient en pleine action de répétition pour les préparatifs d’un grand jour. Une journée d’une importance capitale, dans le devenir économique social et environnemental de notre cher pays.  Dans le   calendrier de notre République, ce jour n’a lieu généralement que par quinquennat ou septennat.

NOTRE PLAT NATIONAL OU PLAT D’UN JOUR IMPORTANT

En pleine préparation de notre “thieboudieune national” avec tous les éléments et condiments, qui nous ont toujours valu tant de compliments, certains ont alerté en dénonçant des manquements graves, sur l’état des denrées de première nécessité. Des produits seraient de mauvaise qualité, au point que l’autorité es qualité en a été informée. D’autres, au-delà du riz, de l’huile et des légumes en mauvais état, ont alarmé et choqué par leurs cris et bruits : “Le poisson aussi serait pourri par la faute d’un proche du garde -manger.” Une détonation-interrogation qui ne manque pas d’étonner !

 Les principaux constituants du plat national ne sont pas en bon état même si le père de famille avait très tôt réglé toutes les dépenses nécessaires pour faire un bon marché en faisant confiance et aux fournisseurs et surtout, au Cuisinier garde-manger !

Dans la Cuisine nationale, après la clameur, chaque acteur y va avec sa propre lecture !

Même si l’heure du “midi kéng bol kéng” n’est plus. L’odeur de la cuisine a ôté tout désir aux hôtes.

Les questions sont :

– faut-il continuer la préparation du plat national, malgré les récriminations ou faut-il différer ou reporter pour préparer et servir un meilleur plat ?

– Faut-il continuer le processus de cuisine, en fermant les yeux et en se bouchant le nez, tout en sachant qu’il y a pourriture dans la nourriture ?

– Faut-il servir un plat empoisonné avec son lot d’intoxication et de victimes ou tout simplement, pas de pourriture dans la nourriture d’un jour aussi important ?

Pas de plat national sans poisson en bon état !

LE GRAND COUP DE THÉÂTRE

L’ironie de l’histoire, avec ses aptitudes et ses altitudes insoupçonnées, sait parfois, nous faire vivre un scénario inédit. Un grand coup de théâtre !

Tous les acteurs qui avaient très tôt alerté sur les anomalies du processus de cuisine et qui entre lettres, visites aux représentants de l’Union européenne et discours dans des vidéos très récentes, ont plaidé pour le report pour permettre à notre pirogue commune d’arriver à bord port dans les rives de la Démocratie en nous livrant des poissons de bonne qualité, tous, comme un refus de paternité, tirent le bouchon du ridicule jusqu’à l’indignation face à la décision actuelle du Président de la République.

Et pourtant, la graine de contestation d’une partie de l’opposition a tellement poussé que les élections ont été finalement repoussées. In extremis le Président de la République, père de la Nation a sauvé le Sénégal d’un plat empoisonné.

L’une des premières oppositions parlementaires, en toute responsabilité, s’était levée pour fustiger l’état du poisson.

Entre poissons et poisons, ce février a déjà changé de signe quelqu’un soit la nouvelle consigne acceptée et retenue !

CONSEIL CONSTITUTIONNEL ET ASSEMBLÉE NATIONALE.

Dans le beau jardin de la Confiance, l’insecte dévastateur le plus redoutable s’appelle “Doute“. Que faire quand l’inimaginable titille la réalité de certains faits dans le mauvais sens ?

Que faire quand l’arbitrage est accusé d’arbitraire et de corruption ? Que faire quand des manquements graves font légion dans le Contrôle des acteurs retenus ? Que faire quand le contrôle des signatures du parrainage citoyen conformément à la loi électorale est en souffrance ?

Que faire quand des candidats reconnus sont accusés d’être détenteurs d’autres nationalités, de non maîtrise de la langue officielle etc ?

Que faire quand la Confiance n’est plus ?

RÉCRIMINATIONS ET DISCRIMINATIONS QUE RETENIR ?

Et si le cas Wardini n’était que la tête visible d’un iceberg de manquements ?

Tout manquement dans le contrôle d’un seul point des critères d’éligibilité ne saurait être un simple détail mais est de taille pour acter de la légèreté, de l’incapacité ou de l’incompétence de ceux-là dont le niveau de responsabilité ne donne pas droit à l’erreur !

Que faire quand le visa de la recevabilité est obtenu sans être un ayant droit ?

Peut-on ou doit-on continuer avec un arbitrage qui nous montre dès le départ des limites dans sa mission de contrôle ?

L’article 29 de la Constitution sur la vérification du parrainage a-t-il été réellement respecté ? L’article 28 a-t-il été bien respecté ?

Que faire quand l’inimaginable titille la réalité de certains faits avec leurs méfaits ?

Jamais dans notre histoire politique contemporaine, le Conseil constitutionnel n’a été aussi ouvertement et vertement accusé. Des accusations gravissimes dans un contexte de circonstances aggravantes avec le cas Wardini, dans un contexte où certains vont jusqu’à accuser l’informaticien du Conseil, d’autres parlent de conflits d’intérêts ou de triple nationalité et de manque de quitus fiscal etc. Que dire du cas Khalifa Sall ?

Comme si le candidat de la majorité présidentielle est devenu la proie facile des accusateurs entre double nationalité, manque de quitus fiscal et corrupteur de surcroît.

LA DÉCISION

Entre cision, cission et scission, la précision se cherche dans la décision pour essayer de supprimer la confusion.

Qui veut noyer le poisson ?

LA CRISE DANS SES RACINES.

Le cas Karim, le cas Diomaye et le cas Wardini n’ont cessé de susciter moult interrogations.

L’ère politique donne l’impression à un grand jeu d’échecs ! Un imbroglio dans l’échiquier ! Voltage de haute tension et malgré le câblage il y a toujours de l’électricité dans l’air !

Un jeu de haute voltige où quelqu’un comme cerveau et un groupuscule chercheraient à agir en amont pour accélérer la sortie du Roi. Ce groupe en silence agit pour torpiller les stratégies de Paix. Le Report, pour des intérêts personnels, ne les arrange pas. Le scénario actuel était très loin de leurs plans. Ceux-là oublient que le Plan de Dieu n’a pas d’adversaire !

Par définition respect doit être donné à toutes les institutions de la République conformément à leurs titres, rangs et grades mais aussi respect à la présomption d’innocence en toutes circonstances.

Mais que peut-on attendre d’un avis dans un contexte où certains membres sont accusés de corruption par une partie de l’opposition ?

Certains peuvent penser à un règlement de comptes ou à de l’autoprotection.

L’idéal aurait été de pouvoir donner son avis sans avoir de contentieux avec aucune partie concernée.

Même si arrimé d’accusations ne signifie pas être animé de réglages de compte. La présomption d’innocence en toutes circonstances !

Le Conseil constitutionnel dans son contenu est hors de portée de tout règlement de comptes mais en dernier ressort le Président de la République peut, s’il le juge opportun, faire appel à l’article 52 de la Constitution.

Le Président Abdoulaye Wade en son temps avait usé de la dissolution concernant le Craes avant de créer une autre institution conforme aux exigences du moment. Le Sénat avait subi le même sort.

Ce conseil constitutionnel est-il à la hauteur de sa mission de contrôle et de sélection pour les acteurs retenus ?

Entre “contes et règlements de comptes” quelqu’un sait se mettre au-devant de la scène, non pas au nom de la République mais au nom de la Réplique pour défendre l’honneur du frère.

LOYAUTÉ, LOYAUTÉ OÙ ES-TU ?

 Je respecte tous ceux qui assument ouvertement leurs positions en démissionnant. Certains hypocrites préfèrent faire leur mue selon la météo politique alors que d’autres sont pressés de vivre une nouvelle alliance politique tout en restant dans le même label.

Entre fissures et déchirures les rats de la trahison cherchent leurs chemins !

Que tous les militants engagés et sincères continuent de soutenir le Président Macky Sall.

C’est regrettable de voir des individus, qui ont tout obtenu du Président Macky Sall, nous montrer si prématurément un autre visage très compatible avec la trahison pendant que d’autres même frustrés continuent de faire vivre leur engagement.  

LES RÉCRIMINATIONS

Que faire si réellement il y a manquements dans le contrôle ou s’il y a des faits de non application de la loi électorale concernant les critères d’éligibilité des candidats dans toute son entièreté ? Que faire quand l’impartialité devient parcellaire ou sélective ?

Les récriminations des candidats dits “spoliés” qui se croient victimes de discriminations vont bon train.

Le traitement des critères d’éligibilité des candidats a-t-il été réellement conforme à la loi ?

Entre légèreté et défaillances, doit-on disqualifier l’arbitrage et améliorer nos lois ?

Jamais un conseil constitutionnel n’a été amené directement ou indirectement à s’auto-juger car ici, il s’agit comme le Chef de l’Etat l’avait dit ou prédit “d’une crise entre les 2 institutions qui va malheureusement au-delà.’’

L’autre jour, l’Assemblée nationale, conformément à ses lois et règlements, avait joué sa partition après des accusations de corruption concernant certains membres du Conseil…  Obligeant la coalition BENNO BOKK YAKAAR à s’unir avec une partie de l’opposition pour laver l’honneur du candidat choisi par le Président Macky Sall, je veux nommer le Premier ministre candidat Amadou Ba. Une   procédure de l’enquête parlementaire déclenchée qui se voit stopper nette par la procédure judiciaire déjà enclenchée.

Aujourd’hui c’est au tour du Conseil Constitutionnel.

Le Président Macky Sall, Président de la République clé de voûte des institutions, continuera de jouer son rôle.  Il est le gardien de la Constitution, garant du bon fonctionnement de toutes nos Institutions.

SUR L’ANNULATION DU REPORT, TOUT EN ACTANT DE SA RAISON D’ÊTRE.

En première lecture, la décision du Conseil Constitutionnel atteste de la vitalité de l’exercice de la séparation des pouvoirs et c’est à l’honneur de l’Etat de droit, c’est à l’honneur de notre cher pays et c’est à l’honneur du Président Macky Sall, conformément à ses prérogatives avec le Président de l’Assemblée nationale ont choisi les membres du Conseil Constitutionnel.

Les membres du Conseil constitutionnel sont par définition des plus que juges. Ils ont le titre, oh combien important et significatif juridiquement et culturellement, de ’’Sages’’.

Le Président de la République Macky Sall reste le maître du jeu.

Dans le contexte actuel tous les attributs du Président de la République épousent tous leurs sens. Le Président Macky Sall est le père de la Nation, il est le garant de notre stabilité nationale, il est le protecteur de notre patrimoine culturel et cultuel, il est le chef suprême des armées, chef supérieur de la magistrature etc. Et aucun superlatif n’est de trop pour rendre à la station présidentielle tous ses attributs.

Faut-il dissoudre ce Conseil constitutionnel pour résoudre tous ses manquements ? Faut-il recomposer l’écosystème du Conseil Constitutionnel, faut-il repenser les mécanismes de contrôle du Conseil Constitutionnel en les outillant davantage ?

Il est clair que l’un de nos bâtiments de la Démocratie mérite d’être dépoussiéré ou mieux d’être rénové ou reconstruit.

L’article 52 permet au Président de la République de faire tous les réglages nécessaires pour mettre de l’ordre dans le bon fonctionnement de toutes nos institutions.

Seul le Président Macky Sall, dans le respect du champ de pouvoir de chaque institution, a compétence à convoquer le corps électoral.

Avant de prendre la décision portant annulation du processus électoral, le Président Macky Sall a consulté tous les Présidents d’institutions ainsi que le Président du Conseil Constitutionnel et le Premier ministre.

Ainsi il a sauvé in extremis le Sénégal d’une “parodie d’élection“.

Ne l’oublions pas, le Président Macky Sall a eu raison : entre le Conseil constitutionnel et l’Assemblée nationale il y a crise.

Les candidats qui se sentent spoliés avaient -ils raison ?

L’homme qui représente le Sénégal dans son entièreté, dont les initiales figurent sur le drapeau, saura, avec sa clairvoyance légendaire, prendre la meilleure décision pour que la station présidentielle garde toute sa dignité pour l’honneur du Sénégal.

S’il est vrai que nous continuons à lui faire confiance, continuons alors à le soutenir.

DIALOGUONS !

Le dialogue ou concertation nationale pour une réconciliation nationale, avec les forces vives de la Nation, est l’une des meilleures voies de stabilité et de Paix.

Le Dialogue est un médicament à la fois préventif et curatif qui a toujours existé dans notre ordonnance commune de Paix, de Santé, de Stabilité et de prospérité. Rien ne vaut la bonne santé de la Paix !

Le Président Macky Sall a toujours été un vaillant militant de la Paix. Il a toujours cru aux vertus du Dialogue.

Le Pardon est un don important pour celui qui croit aux vertus du Dialogue. Les guerres ou les guéguerres ne peuvent pas assurer la pérennité d’un développement économique social et environnemental. Il nous faut faire preuve de dépassement pour affronter tous les défis inhérents à la vie et à l’évolution de notre cher pays. Dans la résilience mais surtout dans la semence de la Paix, le champ de l’émergence assure sa bonne germination et son développement durable. Au nom de l’intérêt supérieur de la Nation aucune concession n’est de trop pour nourrir la Paix.

Oui concertation nationale pour une réconciliation nationale !

Oui pour des élections présidentielles inclusives avec égalité de traitement pour tous.

D’un camp à un autre il y aura toujours des attiseurs de feu qu’il faut savoir contenir. Ceux-là conformément à leur statut de vautours et d’oiseaux de mauvais augure feront tout pour essayer de torpiller les fils ou ponts du Dialogue.

LE REPORT D’UNE ÉLECTION PRÉSIDENTIELLE EST-IL CONTRAIRE À LA DÉMOCRATIE ?

 Doit-on aller vers une parodie d’élections présidentielles au nom de cette fameuse formule “respect du calendrier républicain” ?

Ou devrons-nous, nous donner le temps de la réflexion, dans un climat apaisé où les règles du jeu seront respectées avant d’aller vers des élections ?

Devons-nous, au nom du calendrier républicain, faire fi des manquements gravissimes comme la discrimination dans le traitement des critères d’éligibilité. L’éligibilité ne saurait être, en aucun cas personnalisé, selon la tête du candidat car la loi est impersonnelle mais elle est générale et applicable pour tous sans distinction discriminatoire aucune.  Que vaut un calendrier républicain sans le respect du droit, et du droit de tout un chacun ? Ce que nous attendons de tout homme de droit, au-delà d’être droit, c’est d’appliquer le droit.

Dans l’histoire politique du Sénégal c’est la première fois que pareille situation se présente à quelques encablures du début de la campagne.

C’était une obligation historique pour le Président Macky Sall d’arrêter le processus électoral et de tout reprendre.

Le Sénégal sera-t-il le premier pays au monde à reporter des élections présidentielles ? Le bien-être de la Démocratie vaut tous les sacrifices. Il faut cesser les artifices.

Pour des accusations aussi graves, tout sénégalais épris de paix et de justice doit exiger que lumière soit faite.

Quand des manquements graves font légion dans le processus, quand des membres du Conseil constitutionnel sont accusés, quand le candidat officiel de la majorité présidentielle est aussi gravement accusé d’être le corrupteur, l’interrupteur de la Raison doit agir dans le but de prendre contact avec la lumière.

Le Président Macky Sall, Président de la République, Président de tous les Sénégalais, a obligation de tout faire pour que la lumière soit apportée. Il y va de l’avenir de notre coalition certes mais il y va surtout de la sécurisation et de la pérennisation des fondements de la République.

REPORT OU RÉFÉRENDUM

Le Report n’est pas un référendum pour ou contre le candidat de notre coalition, le Premier Ministre Amadou Ba. Continuons à ne chercher aucune variable à la loyauté. La dualité ne peut pas exister. C’est le Président Macky Sall qui a nommé et choisi le candidat Amadou Ba. Continuité et dualité ne peuvent pas aller de pair. Ensemble nous devons être à l’écoute du Président Macky Sall.

Le Président Macky Sall, Président de notre parti et de notre coalition continue sa conjugaison dans le temps présent. Que les semeurs de confusion arrêtent leurs manies ou manigances. Des esprits malintentionnés tentent diversement de mettre la pression sur la station présidentielle pour des intérêts crypto personnels. Certains membres de la société civile sont des politiques en civils pour mieux cacher leurs connexions douteuses.

Nous devons tous soutenir sans réserve le Président Macky Sall !

Rien ne vaut un mauvais départ pour des élections aussi importantes à savoir les élections présidentielles.

Fermer les yeux c’est accepter de marcher à l’aveuglette dans le noir.

Dans de telles circonstances que l’accueil choc du mur ne surprenne personne.

Que vaut l’heure quand il y a leurres ? Nous ne devons pas être en panne de clairvoyance.

Nous ne pouvons que prendre acte des décisions du 20 janvier et du 15 Février du Conseil Constitutionnel tout en sachant que le Pouvoir constituant de l’Assemblée nationale demeure et reste inviolable. Il ne reviendra jamais au Conseil Constitutionnel, en l’état actuel de nos textes, de régir ou d’agir sur la conception de nos lois. Il lui revient d’appliquer ou de faire appliquer.

LE SACRIFICE AU NOM DE L’HONNEUR DU SÉNÉGAL, PRÉSIDENT MACKY SALL JARAMA

L’éternité de la vie sur terre n’existe pas et ne saurait exister sur ce que l’homme fait vivre. Aucune fonction, aucune mission ou même aucune profession sur terre n’est éternelle.

Le Président Macky Sall sait, qu’un jour il aura un successeur conformément à l’hymne de la vie. La singularité du contexte fait qu’il sera le premier Président de la République à organiser des élections sans faire partie des candidats en lice.

Entre la frénésie des empressés et celle des nostalgiques, il faut toujours la veillée de la Raison.

Pourquoi vouloir profiter d’un report pour tuer des fils de la Nation, pour brûler le pays, semer le chaos et détruire l’image de notre vitrine démocratique en voulant si vilainement porter un coup dur à l’honorabilité du Président de la République SEM Macky Sall et à l’honorabilité de notre cher pays ?

Avons-nous inventé la Démocratie ?

Sommes-nous le premier pays au monde à reporter des élections présidentielles ?

Donc pourquoi vouloir coûte que coûte, vaille que vaille fermer les yeux sur tous les manquements en amont au nom de cette fameuse formule “Respect du Calendrier Républicain’’ ou ‘’Respect du Calendrier Électoral ‘’ ?

Fermer les yeux c’est accepter volontairement l’accueil d’un mur. Il ne faut pas accepter de marcher les yeux fermés alors qu’il est grand temps de les ouvrir !

NOTR SOUVERAINETÉ NATIONALE N’A PAS DE SUPÉRIEUR HIÉRARCHIQUE.

Conformément à l’intégral de notre hymne national, le Sénégal croit à l’union africaine et à toute forme d’intégration ou de coopération mais il n’a jamais renoncé à sa souveraineté nationale et à son indépendance en tant que État libre et libre de ses choix.  

Que les médias occidentaux sachent que notre souveraineté nationale n’est pas attachée à leur bon vouloir. Le Sénégal n’a pas de leçons de Démocratie à recevoir ni de la France ni des États-Unis ni d’aucun autre pays encore moins de la sous-région. Leurs propres histoires lointaines ou récentes doivent leur servir de bréviaire et de leçons d’observations dans leur propre géographie avant de vouloir agir sur la géopolitique du monde !

Le niveau d’affirmation du Président Macky Sall dérange au plus haut point certains dirigeants du Monde. Les accords économiques comme militaires avec le Président Vladimir Poutine ne cessent de faire des jaloux.

Le Président Macky Sall a choisi la voie la plus difficile, celle de prendre sur lui, au nom de l’honneur du Sénégal.

Dans des débats oiseux, son nom est taxé de tous les noms d’oiseaux.

Entre son patrimoine d’honneur et d’honorabilité et celui du Sénégal, le Président Macky Sall a choisi le Sénégal.

Se sacrifier pour une cause n’est pas donné à n’importe qui, se sacrifier pour les autres, n’est pas donné à n’importe qui, se sacrifier pour le Sénégal n’est pas donné à n’importe qui !

L’héroïsme naît dans les moments désespérants.

Entre l’égoïsme et l’héroïsme vous avez choisi le dernier ! Assurément vous avez le Sénégal au cœur !

Conformément à notre hymne national dans ses derniers couplets, le Président Macky Sall nous a montré, si besoin en était encore, qu’il a ‘’le Sénégal au cœur

“Sénégal, nous faisons nôtre, ton grand dessein : Rassembler les poussins à l’abri des milans, pour en faire de l’est à l’ouest, du nord au sud, dressé un même peuple, un peuple sans couture, mais un peuple tourné vers tous les vents du Monde.”

Que vaut l’heure quand il y a leurres quelque part ?

La véritable lueur d’espoir reste dans les fruits succulents de l’arbre du Dialogue au nom de la Paix et de la stabilité nationale.

Que chacun de nous sache aussi, que l’eau qui doit éteindre un incendie n’a point besoin d’être propre.

Seul le feu du Dialogue peut être vert et verdoyant car tout autre feu est destructeur.

A l’interne, il faut se débarrasser des ternissures qui bloquent et plombent la Paix sociale.

Nous sommes dans l’aube d’un nouveau matin grâce aux performances du Plan Sénégal Emergent. Préservons les acquis.

Dans le pardon et la réconciliation nationale pour un Sénégal de Paix et de prospérité, se trouvent le salut de tous.

Notre chère pirogue n’a pas besoin de pagaie sur fond de pagaille.

Un digne fils du pays ne saurait dire non à l’appel de la Nation.

Oui pour les compromis et non contre les compromissions !

Que la République reste toujours debout malgré le dégoût de ses fossoyeurs !

Quand des trouillards fuyards sont accueillis en héros, le brouillard d’un monde à l’envers doit cesser malgré le vent de décrispation qui souffle ! Entre accueillir et cueillir l’Etat doit avec son savoir-faire, faire la différence.

LE REPORT

Le Report n’a de sens que s’il permet de repartir sur de nouvelles bases. Les crises sont source d’améliorations des textes qui nous régissent. En effet c’est dans les périodes de crises que les manquements ou vides juridiques se font mieux voir.

Nos lois et règlements sont l’émanation de nos aspirations exprimées par referendum ou par des projets ou propositions de lois votées et promulguées dont les juges sont tenus d’appliquer ou de faire appliquer.

Le Sénégal est libre de changer ses lois quand le contexte des fruits du Dialogue l’exprime et l’imprime.

Entre un report de date annulé pour en acter un autre sine die appelé “meilleurs délais”, le Président Macky Sall, au nom de notre ordonnance commune de bien être à savoir le Dialogue aura la mission d’organiser les élections présidentielles. Le scrutin fait partie de l’avant dernière ligne droite dans l’organisation.

Je suis pour une refonte du processus électoral avec de nouveaux critères d’éligibilité des candidats, un nouveau filtrage du parrainage dans une démarche inclusive sans discrimination aucune.

La dernière liste des candidats aux élections présidentielles était valable pour les élections présidentielles du 25 Février 2024.

Cette liste me paraît caduque même si le besoin de réanimation peut consister cette fois-ci à ne pas mettre de date ! A défaut d’être supprimée la liste doit être complétée.

Conformément à la Constitution du Sénégal, le Président Macky Sall a l’obligation de “rester jusqu’à l’installation de son successeur”.

Même si le champ d’organisations des élections présidentielles dépasse le 02 Avril, la Constitution lui donne le droit de rester jusqu’à l’installation de son successeur ! Ceux qui croient qu’au-delà du 02 Avril le Président de la République n’est plus Président de la République n’ont qu’à se conformer à la Constitution !

C’est en cas de vacance que le Président de l’Assemblée nationale pourra assurer l’intérim. En cas de non élection ou d’absence de successeur le Président de la République en exercice continue d’assurer pleinement ses fonctions. Il n’y a pas lieu de vouloir faire agir l’idée de vacance à partir du 02 Avril alors que nenni.

SUR NOTRE CANDIDAT AMADOU BA

Le Président Macky Sall nous a choisi un bon profil en l’occurrence Amadou Ba. Le Premier ministre Amadou Ba a toujours donné satisfaction au Président de la République Macky Sall au regard de toutes les fonctions occupées. Mais aujourd’hui ma préoccupation ne va épouser l’analyse de certains qui pensent que la fonction primatoriale ne peut pas porter préjudice au candidat à la présidentielle car des présidents de la République candidats vont aux élections sans démissionner de leurs fonctions. Ne confondons pas acquisition et consolidation. Dans notre pays tous les précédents Présidents de la République et même l’actuel à l’exception du Président Diouf ont été, en temps de conquête du pouvoir, sans fonction Étatique. Cela permet au candidat conquérant d’avoir le temps de se consacrer davantage dans l’agenda politique et surtout à avoir un contact direct avec les militants et sympathisants. Etre Premier ministre et candidat en même temps, acte de fait l’inaccessibilité et la non disponibilité. Sans pacte direct avec certains militants pour mieux impacter sur l’adhésion et la cohésion source inestimable d’engouement pour la vie des supports politiques sans cette ouverture la fluidité va poser problème. Comment peut-on dans cette période en tant que primo- candidat être aussi inaccessible ou même plus inaccessible que le Président de la République ?

Les premiers ministres non candidats étaient toujours disponibles, un candidat à l’élection présidentielle doit se donner les moyens d’être disponible !

Généralement ceux qui vous soutiennent ont eu un lien ou contact direct avec vous. Monsieur le candidat de notre coalition votre rôle de rassembleur gagnerait à prendre du relief pour dissoudre ou résoudre certains griefs.

Aidez-nous à mieux vous aider. Pour le bien de la coalition. Soyez accessible pour recevoir et disponible pour aller vers les gens.

SUR LE CAS KARIM WADE

Que peut-on contre la biologie ou les gènes de naissance ?

Avec ou sans décret Karim Wade est totalement sénégalais et il est aussi totalement français. Le “ou” n’a pas sa raison d’être. Il ne s’agit pas de nier ou de renier !

Il nous faut repenser nos lois quand l’esprit n’est pas conforme à la lettre.

Karim Wade l’endurant mérite, au nom du bien-être de la Démocratie, d’être candidat aux élections présidentielles.

Que le franc jeu se fasse vivre pour des élections présidentielles inclusives et transparentes au nom de la Démocratie !

Que Dieu continue sa bonne guidance sur le Sénégal et sur le Président Macky Sall,

Permettez la singularité.

Président Macky Sall, mon Président, vous êtes un Présent de la République pour la République. Hier encore vous, nous avez nourri de fierté et d’honneur.

Vous avez la chance d’être Macky Sall nous avons la chance d’avoir Macky Sall !

Vous faites l’honneur et le bonheur du Sénégal !

Jarama !

Président Macky Sall

Que la faveur de Dieu soit toujours en vous et en votre famille.

Vive le Dialogue

Vive la République

Soleil sur nos terreurs

Soleil sur notre Espoir

Paix et Émergence en chacun de nous

Sénégal Sunugal

Soukeyna Fall

Alliance pour la République

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