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Anelka revendique une rumba “authentique et moderne”

Anelka mwana suka , de son vrai nom Mbongo Jeancy Anelka, est né le 31 décembre 1992, à Kinshasa (R.D.Congo). Petit garçon dynamique et éveillé, il se prédestinait déjà dans ses rêves les plus fou à poursuivre une carrière dans la musique. A l’âge de 10 ans, il chante chaque dimanche devant la foule de fidèles à l’Eglise et déjà sa voix impressionne.

Anelka débuté comme choriste dans une église protestant de son quartier. Tout en poursuivant ses études jusqu’au niveau du Baccalauréat, la musique se révèle à lui comme une évidence. Doué le jeune garçon est sollicité par ci, par-là pour jouer sur des petites scènes de son quartier. En 2011, avec la bénédiction de ses parents ; papa lmfumu Zen et maman Tsika Bana Anelka décide de quitter Kinshasa pour aller chercher réussite au Congo voisin. Arrivé à Brazzaville, les débuts ont été très compliqués. Ces moments difficiles l’amènent tout naturellement à commencer à fredonner, à l’âge de 20 ans, ses premières mélodies mélancoliques. il intègre le groupe de OJC Musica de Junior koffi et l’aventure commence là.

En 2014 Mbata Mokolo” fait des ravages. C’est une opération d’expulsion massif d’étranger en situation irrégulière. La violence des évènements n’épargne personne, femmes comme enfants. Une épreuve qui va le marquer à vie. Deux ans plus tard, il va revenir à Brazzaville convaincu que son destin se jouera coute que coute de ce côté-là du fleuve Congo.

Et l’évidence s’impose : malgré son jeune âge, le garçon chante bien et juste. Tour à tour il est remarqué par Lionel Etou avec qui il évoluera un moment mais c’est avec le groupe de Cegra Karl qu’il choisira de faire sa carrière. Le Covid-19 fera de 2020, une année catastrophique pour le monde entier ; encore plus pour le milieu musical. Le confinement a donné assez de temps de réflexion ;

En 2021, ANELKA décide de se lancer en solo pour mieux défendre ses idées et sa vision artistique. Un de ses proches, le met en contact avec Freddy Ndombi, un producteur basé en France qui gère le label MAXTESS MUSIC. La connexion est faite, et ANELKA est séduit par la proposition. Il se lance alors dans la conception de son premier maxi. Il enregistre quelques titres en studio, dont le fameux “KO BOYA TE”, qui accroche bien et va lui offrir une base locale de fans.

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