À la veille de l’ouverture du procès de l’attentat contre le journal Charlie Hebdo, Emmanuel Macron a laissé entendre qu’un «président de la République en France n’a jamais à qualifier le choix éditorial» d’un journal. Il a défendu, mardi 1er septembre, «la liberté de blasphémer» en France à propos de la republication par Charlie Hebdo des caricatures de Mahomet, lors d’une conférence de presse à Beyrouth. «Depuis les débuts de la Troisième République il y a en France une liberté de blasphémer qui est attachée à la liberté de conscience. Je suis là pour protéger toutes ces libertés. Je n’ai pas à qualifier le choix de journalistes. J’ai juste à dire qu’en France on peut critiquer des gouvernants, un président, blasphémer, etc.» a-t-il assuré. Cité par Le Figaro, Emmanuel Macron évoque, dans le même élan, la liberté de presse.
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