Le droit s’imposera et s’épanouira avec le triomphe de l’Etat de droit et la confirmation par les juges, de l’option démocratique du peuple sénégalais comme système politique, ou le destin de tout un peuple arpentera un virage ténébreux, par la faute de traits de plumes d’hommes qui n’assument pas le pouvoir et l’autorité que la loi résume en ces termes impératifs :<< le juge n’est soumis qu’à l’autorité de la loi.>>, <<le juge doit être indépendant et impartial >>,<<tous sont égaux devant la loi et d’égale dignité >>.
Le peuple Sénégalais a trop souffert de ses procureurs et de ses ministres, et de certains de ses juges, de toute son administration. La justice sifflera dans quelques heures la fin de la récréation, ou le début des prolongations jusqu’à ce que le peuple Sénégalais souverain et invincible, décide de congédier bruyamment ses mandataires, si le juge arbitre trahit le serment qu’il avait prêté devant lui avant d’entrer en fonction. La stabilité et l’équilibre dans les États, reposent principalement sur les épaules des juges qui, de par leurs décisions, peuvent changer un futur tragique de tout un peuple, comme ils font basculer tous les jours le destin de personnes ou de familles.
Ciré Clédor Ly Citoyen Sénégalais, Avocat sans frontière.
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